Article hors dossier

Aller travailler tous les jours sous les bombes à Alep

Les dangers de la vie d'universitaires

"... L’activité du laboratoire pharmaceutique dans lequel je travaillais s’est arrêtée et un appel aux personnels médicaux a été lancé, nous demandant de rejoindre l’établissement de santé le plus proche. Je me suis portée volontaire pendant un mois à l’hôpital Al-Razi, qui recevait quotidiennement des dizaines de blessés, malgré la pénurie d’ambulanciers..."

enseignante-chercheuse en pharmacie