Article de dossier/point sur
Des gendres et des brus "importés" de turquie par les familles
Par crainte d’une acculturation et d’une perte de l’identité turque, nombre de familles immigrées choisissent en Turquie ceux ou celles qui partageront la vie de leurs enfants en France. Ces unions endogamiques, majoritaires, entre jeunes d’ici et de là-bas sont bien souvent source de déceptions, de souffrance, voire de ruptures et de violences. Brus inféodées à leur belle-famille, gendres dépendants des beaux-parents ou rejetés par leur épouse... des situations parfois désespérées qui appellent une réflexion et des politiques ciblées dans le pays d’accueil.
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