Chronique cinéma

Le temps qu’il reste

Film palestinien d’Elia Suleiman

Après Chronique d’une disparition – 1998 –, Intervention divine – 2002 –, voici le troisième volet du triptyque auto-historique d’Elia Suleiman. Entre Paris et New York, le Liban et la Palestine, la conception de ce nouveau film a demandé plus d’obstination et soulevé plus de difficultés, mais la méthode reste la même. La nouveauté, c’est l‘approche plus évidente de la biographie, rythmée comme une valse à quatre temps.