Article de dossier/point sur

Les compétences algériennes à l’étranger

Entre tabous et fausses promesses

La migration des personnes hautement qualifiées en Algérie est souvent perçue comme une fuite des cerveaux. L’État algérien ne s’est toujours pas doté d’outils pour encadrer les migrants à forte valeur ajoutée. Comme si, une fois partis à l’étranger, les hauts potentiels ne pouvaient plus participer d’une manière ou d’une autre au développement de leur pays d’origine. Désormais, il importe de penser ces mobilités non plus en termes de stock de compétences mais selon une logique de circulation des savoirs.

Maghtech/Axe TEDD/Labo. Clerse/université de Lille-I, CREAD (Alger-Oran)